Nous voilà à mi-parcours de Parfum de jazz en Baronnies et nous pouvons constater que le souffle du parfum et son ADN perdurent.
L’institution seule compte, en l’occurrence le festival et l’on constate que la transmission s’est faite. L’ancien Président a su passer le relais et, lui et son équipe ont passé les clés et le modus operandi.
Bravo ! Les organisateurs se relèvent et se remplacent…
Bravo à l’ancienne équipe qui a su partir dans la dignité, en confiant les clés de la maison à des femmes et des hommes de valeur qui ont su relever le défi pour la satisfaction du public.
Le jazz vit et vivra grâce à l’abnégation, pas d’ego, ni de melon, comme on dit à Cavaillon. Juste de la passion.
